C'est l'printemps à Val Cenis

Antoine Duléry, acteur populaire à la télévision comme au cinéma ou au théâtre, prend plaisir à imiter avec un certain talent les gens qu’il aime : Belmondo, Serrault, Lucchini, Galabru, Jouvet, Delon ou encore Johnny.

Antoine Duléry est en soirée avec des amis comédiens et bien qu’il répète toutes les cinq minutes qu’il doit partir, il n’y arrive pas. Car partir, c’est quitter le public et surtout c’est oublier les siens. Et Antoine Duléry n’oublie pas et ne veut pas oublier. Il se souvient des ses pères majestueux : les grands acteurs du passé mais aussi de ses complices d’aujourd’hui.

Un souvenir entraîne une anecdote et, de disgressions en bons mots, Antoine Duléry fait se croiser et se confondre réel et imaginaire avec une grande virtuosité et dans un rythme fou.
Delon croise De Niro, Lucchini poétise avec Jouvet, Galabru dialogue avec Serrault… De ces rencontres improbables naissent des situations jubilatoires, empruntes de tendresse et d’admiration.

Un excellent spectacle comme une énorme déclaration d’amour, mise en scène par Pascal Serieis.

L’avis de Laurent Gerra :

« Antoine, c’est un pote, presque la famille ! Je le connais depuis longtemps, on a même tourné un film ensemble. Il nous présente un spectacle d’imitations avec les histoires qu’il a vécues, les personnes qu’il a rencontrées… J’adore quand il fait Claude Rich ou Daniel Prevost, il est vraiment très drôle. »  

Alex Vizorek est comme qui dirait, un virtuose de la blague, radio, télé et one man show, vous l’avez déjà sûrement vu ou entendu quelque part !

Alex Vizorek vient nous proposer son nouveau spectacle “AD VITAM”, un spectacle sur la mort où le discours est élégant, jamais vulgaire. Partant du postulat que ça pouvait concerner pas mal de gens, il s’appuie sur la philosophie, la biologie, la culture, sans oublier l’orgasme appelé aussi “la petite mort”.

Parler de la mort en parlant de la vie, un challenge de taille pour l’humoriste belge que la mort n’angoisse pas particulièrement mais qui s’autorise à en parler, vu que ça va lui arriver autant qu’aux autres ! Un spectacle unique qui repose sur le verbe, imprégné d’absurde, d’humour noir et de tendresse envers le genre humain.

C’est par sa désopilante oraison funèbre écrite par celui qui le connaît le mieux “c’est à dire moi”, que se termine le spectacle et que vous quittez la salle avec une furieuse envie de vivre.

L’avis de Laurent Gerra :

« Avec Alex, on se croise presque tous les jours, forcément, on est collègue à RTL. J’ai découvert son spectacle chez lui, en Belgique. Et cela tombe bien, il vient justement nous le présenter à Val Cenis pendant les vacances scolaires des Belges. Il a beaucoup de talent et il me fait beaucoup rire. Et pour ne rien gâcher, il est très très sympathique. »

Éternel maladroit, faux distrait, tendre pitre, Pierre Richard nous invite dans son nouveau spectacle à vivre un moment privilégié dans lequel il nous partage à cœur ouvert sa vie passionnée et passionnante.

“La phrase que j’ai peut-être entendue le plus souvent, à part « Bonjour, ça va ? », « À la tienne » ou « Pardon, mais vous me marchez sur le pied », est sans doute celle-ci : « Êtes vous aussi distrait dans la vie que dans vos films ? ».

Je m’évertue depuis cinquante ans à répondre que « Non, pas du tout », mais il faut croire que je prêche dans le désert puisque la question revient inlassablement. C’est pourquoi je viens de prendre une grande décision : ça suffit.

Je n’ai pas peur de l’annoncer, avec ce spectacle, je compte prouver de manière irréfutable et définitive que je ne suis pas distrait, tordre le cou des mauvaises langues – ce qui, entre parenthèses, est un tour de force anatomique -, bref, mettre enfin un terme à un demi-siècle de malentendu.”

Pierre Richard

L’avis de Laurent Gerra :

« Je suis vraiment ravi de compter Pierre Richard parmi nous cette année. J’ai découvert son spectacle à Montréal. Car s’il est très connu en France, il est aussi très apprécié en dehors de nos frontières. Avec son humour très fin et ses anecdotes, il est vraiment bluffant. C’est une grande chance et un grand plaisir de le recevoir à Val Cenis. Et il va aussi représenter le cinéma, un art qui me tient énormément à cœur. »

Louis Chedid, compositeur, auteur et interprète, a proposé à Yvan Cassar de revisiter son riche répertoire.

Yvan Cassar, pianiste, chef d’orchestre, arrangeur de génie, a travaillé avec des artistes aussi différents que Johny Halliday, Claude Nougaro, Mylène Farmer, Roberto Alagna ou encore Charles Aznavour.

“Je compose plutôt mes chansons à la guitare, dit Louis Chedid, et l’idée de les entendre arrangées au piano par un tel virtuose m’a tout de suite attiré. Je suis un autodidacte complet et lui, outre sa façon de jouer de son instrument et d’arranger les morceaux, est un technicien hors pair totalement ouvert à l’univers des compositeurs”.

Sur scène, la scénographie originale autour des pianos et les arrangements totalement nouveaux procurent des émotions à la hauteur de l’interprétation de ce grand chanteur de la chanson française.
De “Ainsi soit-il” aux “Les absents ont toujours tort”, les chansons courent en équilibre sur le fil de l’émotion. Intenses et légères, comme si c’était la première fois.

Une belle soirée qui fait du bien au cœur et aux oreilles !

Extrait vidéo

L’avis de Laurent Gerra :

« J’avais vraiment à cœur de faire venir Louis Chedid à Val Cenis. Il n’était plus en tournée mais il a accepté de venir pour nous.  C’est bien simple, Louis, il n’a fait que des tubes ! Quant à Yvan Cassar, qui a travaillé avec Johnny et qui m’a également déjà accompagné, c’est un honneur de le recevoir. »